Disparition de Lina : Le Drame Précédant Intrigue les Enquêteurs

Il s'est écoulé trois semaines depuis la disparition de Lina. Depuis le 23 septembre, les autorités déploient tous leurs moyens pour retrouver la trace de cette adolescente de 15 ans qui a disparu le long de la D350, sur le chemin menant à la gare de Saint-Blaise-la-Roche. Malgré une enquête approfondie de la zone et l'analyse des enregistrements des caméras de surveillance à proximité, les gendarmes n'ont pas découvert de nouvelles pistes significatives jusqu'à présent. Les éléments disponibles suggèrent pour le moment que Lina aurait pu monter à bord d'un véhicule le long de la route départementale. C'est d'ailleurs à cet endroit que son téléphone a cessé d'émettre, vers 11h20.

Cependant, les forces de l'ordre sont confrontées à un élément troublant. Quelques jours avant la disparition de Lina, un cadavre a été découvert à environ cinquante kilomètres du lieu présumé de l'enlèvement de l'adolescente. Selon les informations du Nouveau Détective, la victime, identifiée comme Benoît Jung, était un professeur de mathématiques de 51 ans. Son corps présentait des impacts de balles, bien que rien dans son passé ne suggère son implication dans des affaires de règlements de comptes armés.

Dès le 14 septembre, les forces de l'ordre ont intensifié leurs efforts pour résoudre cette affaire, en raison du manque d'indices. Pourquoi quelqu'un aurait-il pu s'en prendre à Benoît Jung ? Cet individu, qui était réputé pour "réconcilier les adolescents avec les mathématiques," était également un "grand sportif" et pratiquant catholique. Rapidement, des interrogations ont émergé : Aurait-il pu être impliqué dans une rencontre malheureuse avec une personne violente ? Aurait-il été victime d'une embuscade ? Lors de ses funérailles, un nouveau drame s'est produit. Fanny, la mère de Lina, a dû utiliser son téléphone pour signaler la disparition de sa fille, ajoutant ainsi une autre disparition mystérieuse à l'enquête, qui se caractérise par un manque significatif d'éléments.