Disparition d'Émile : Le Propriétaire de la Maison Brise le Silence ! Les Détails Inédits Révélés en Exclusivité

Les autorités continuent de déployer des efforts inlassables dans le but de retrouver Émile, un enfant de deux ans et demi, qui a été porté disparu depuis le 8 juillet dernier. Cette disparition s'est produite dans le hameau du Haut-Vernet, où le jeune garçon passait ses vacances en compagnie de ses grands-parents, ainsi que de ses oncles et tantes, qui sont, quant à eux, des enfants et des adolescents.

Parmi les différentes hypothèses examinées, l'une concerne une dalle de béton qui aurait été coulée le jour de la disparition du petit garçon. Selon Le Parisien, cette dalle fait partie de la terrasse d'une maison située à environ 200 mètres de la résidence des grands-parents d'Émile. Un témoin aurait observé que cette plaque émettait un son creux, ce qui a suscité des soupçons. De plus, l'utilisation d'un sonar aurait révélé une anomalie sous cette dalle.

Le lundi 11 septembre dernier, les gendarmes ont procédé à la démolition d'une plaque d'environ dix centimètres de hauteur au moyen d'un marteau-piqueur, en présence de son propriétaire, qui répond au prénom de Nicolas (le prénom a été modifié). Dans un témoignage accordé au journal Le Parisien, Nicolas a affirmé qu'il ne regrettait en rien cette décision, en déclarant : "Si cela avait été nécessaire de démolir ma maison pour retrouver une trace d'Émile, j'aurais accepté sans la moindre hésitation."

Nicolas, qui a acquis la propriété au printemps dernier, n'était pas présent le jour de la disparition d'Émile, et il tient à souligner qu'il n'a aucun lien de proximité ou de connaissance avec la famille du petit garçon. Cependant, depuis environ deux semaines,

Des ouvriers étaient engagés depuis environ deux semaines dans la construction d'un garage et d'une terrasse pour la maison mitoyenne de Nicolas. Le 8 juillet, ces ouvriers étaient en train de réaliser des travaux de maçonnerie, au cours desquels cette fameuse dalle a été posée. Cette opération a été initiée par les juges d'instruction d'Alpes-de-Haute-Provence, dans le but de vérifier la validité de la théorie selon laquelle un accident se serait produit ce jour-là.

D'après cette théorie, il aurait été possible qu'un ouvrier, peut-être par accident, aurait heurté Émile avec son véhicule, puis aurait caché le corps sous une couche de béton. Cependant, même si d'importants moyens ont été mobilisés dans les recherches, aucune preuve probante n'a été trouvée. Le retrait de cette dalle de béton a constitué une démarche exploratoire supplémentaire entreprise par les gendarmes, mais, une fois encore, elle n'a pas abouti à des résultats concluants.

Les propriétaires de la résidence peuvent désormais poursuivre leurs travaux sans entraves, tandis que les enquêteurs poursuivent leurs efforts pour résoudre le mystère de la disparition d'Émile.